Informations sur le personnage :Nom(s) et prénom(s) : Lisonelle Aurenen
Surnom éventuel : Plume, Doc’ , Cap’tain’.
Spécialité : La dissipation magique, défensive et offensive. Sur personne ou objet, désenchantement, brûlure de mana. Enchantement, abjuration. Et dans une certaine mesure, Maniement de l’esprit. Chirurgie. Remettre les nez brisés.
Race : Elfe de Sang
Grade, rang ou titre (si existant) : Héritière de la Maison Aurenen.
Classe : Prêtresse
Niveau :100
Description physique : Petite, C’est le premier mot qui vient à l’esprit en regardant Lisonelle, si petite qu’on en croirait presque que c’est une enfant. Élancée, les courbes harmonieuses et la taille légère de l’elfe assurent qu’elle n’en est plus une. Une musculature sèche et nerveuse sur une carrure fine trahissent un entraînement aussi régulier que rigoureux sans marquer sa silhouette déliée.
Légère, sera très certainement le second. Svelte et gracile, sa démarche laisse l'impression qu'elle glisse sur le sol, l'effleurant à peine, même lorsque elle allonge le pas pour voyager. Si d’aventure elle porte une robe , on ne discernera pas même ses pas laissant l’impression qu’elle flotte. Son ossature fine, la musculature effilée renforceront encore l’impression. Besoin d’assez peu d’imagination pour deviner d'où vient le surnom qu’on lui donne parfois: “Plume”.
Digne, c’est ce qui viendra ensuite à s’attacher à ce dos immanquablement droit, le port de tête gracieux, ses gestes mesurés sans pourtant jamais se départir de simplicité. Le tout lui colle a la peau, même quand elle tente de le dissimuler ou de le faire oublier par une gestuelle plus volubile.
Dans la pénombre ou la nuit, la silhouette semble se détacher plus nettement du décor, comme soulignée d’un pâle lueur semblable à celle qui précède l’aube, détachant l’horizon, marquant ses contours de manière à peine perceptible.
Des jambes longues pour sa stature et finement galbées surmontent une certaine forme d’anomalie : Une paire de bottes de bon cuir souple mais solide, qui semblent avoir traversé la moité du monde, bien entretenues. Même vêtue d’une longue robe fastueuse vous les trouverez dissimulées dessous. La courbe des cuisses compense des hanches un peu trop étroites et la taille marquée finit d'effacer leur finesse.
Un buste resserré et une poitrine harmonieuse renforcent l'impression gracile et féminine de l’Elfe.
Ses poignets fins surmontent des mains de musicienne ou de chirurgien plutôt grandes, vis à vis des proportions réduite de l’elfe, et aux doigts allongés. L'extrémité de ceux-ci est marqués de Cals plus rugueux à force de s’user sur les cordes. Une poigne ferme bien qu’enrobée dans une gestuelle gracieuse. Elle porte le plus souvent des gants, masquant les autres cals révélant une pratique régulière du maniement des armes. Ne les dévoilant qu’a dessein ou quand sa tâche requiert une dextérité plus poussée. Une main de fer dans un gant de soie. Si au gré d’un mouvement on accroche la peau claire d’un regard, on peut apercevoir l’aspect trop lisse de celle ci au niveau des poignets rendant ses os plus saillants encore qu’il ne le devraient.
Des bras qui les surplombent, souvent couverts, on devine aisément l'asymétrie, la musculature ciselée se déformant sur le bras droit, que seuls les tissu les plus épais ou les coupes amples parviennent à dissimuler. Régulièrement crispé par quelques soubresauts probablement douloureux, que la prêtresse dissipe d’un geste usité en tirant sur sa manche. Sans que cela ne marque ses traits.
Ses épaules à la courbure douce se prolongent vers son cou élancé dont le port élégant conduit a son visage.
Un teint d’opaline plein de fraîcheur, exempt de toute cicatrice. Des cheveux d'ébène parfaitement lisse d’ordinaire coupés assez courts entourent un visage plaisant, plutôt étroit l’ossature légèrement anguleuses de la mâchoire est adoucie par l'arrondi d’un menton délicat. Des lèvres fines et d’un rosé très clair arborent le plus souvent un sourire léger gageant d’une personne courtoise. Un petit nez fin et droit. Les pommettes hautes marquées sans être saillantes. Si d’aventure son sourire s’élargit, ou que résonnent les clochette de son rire clair qui a la fâcheuse tendance à sembler se suspendre dans l’air, des fossettes apparaîtront sur ses joues, transformant son visage si sérieux en un océan d’enfance.
Une paire d'oreilles particulièrement mobiles, longues et fines, ornées d’une quantité d'anneaux et autres solitaires pour le moins étonnants, tous dépareillés, d’acier d’or de cuivre ou d’os ornés de diverses pierres semi-précieuses, ou communes pour certains, ou autres perles, ils semblent être usés par le temps, abîmés, cabossés ou rayés et globalement de peu de valeur. Ils semblent être originaires de tout Azeroth et d’ailleurs.
Enfin, viennent ses yeux, d’une clarté remarquable, d’un vert d’eau très clair, il envahissent son visage à en faire oublier le reste de ses traits. Légèrement disproportionnés, trop grand pour ce visage fin, ils sont un océan où se perdre est aisé, autant qu’ils y invitent. Trop s’y égarer peut pourtant s'avérer plus troublant encore que cette impression qu’on peut avoir d’être happé par leur clarté. Laissant entr'apercevoir le miroir d’une âme animée d’espérances. Semblant vous mettre à jour jusqu'à l’âme.
Description mentale : - Spoiler:
Passionnée, elle est amoureuse de la mer, des bateaux, de la musique et aime à chercher certains savoirs. Curieuse et attentive quand le sujet l'intéresse. ces intérêts peuvent rapidement la sortir de sa réserve habituelle en faisant d’elle une interlocutrice volubile.
Lisonelle est une elfe polie, à qui on a apprit qu’on obtenait bien plus avec une tasse de thé et de la politesse qu’à grand renfort de cris et de violence.
Trop souvent trompée et trahie, sa confiance est difficile à gagner, d’autant plus qu’une fois acquise elle a des airs d’absolu, la rendant réservée voir méfiante avec ceux qui ne l’ont pas.
Susceptible quand il s'agit de son estime d’elle même, gagnée avec grande difficulté, elle peut en venir à la défendre avec une certaine hargne.
Impulsive et pleine de vie, il peut même lui arriver de devenir colérique, sa perception du monde restant altérée par un esprit qui a effleuré la folie.
Cette folie qui la guette encore parfois peut rendre ses réactions incompréhensibles pour qui la connaît mal, voir imprévisibles.
Elle a une capacité à bien réagir sous la pression. En situation de combat, son esprit réfléchit vite, de manière pragmatique et efficace. Elle est dotée d’un très bon instinct de combattant quand viens l’heure de prendre une décision dans l’instant.
Historique : - Spoiler:
Lisonelle est née dans les murs même de la cité de Lune-d’Argent, à l’époque où les guerres étaient loin de ces murs et où le royaume connaissait la prospérité autant qu’une paix relative. Enfant à la santé fragile, elle a toujours été chétive. Elle fut gardée bien à l'abri des murs de la demeure. Sa mère, souffrante, restait alitée la plupart du temps et elle restait à son chevet tant que sa propre santé lui permettait.
Solitude interminable comblé de lecture et d’enseignement, apprenant à devenir une Dame convenable, à défaut d’utile. Les années passaient et sa santé finit par ne plus être un risque. Mais pour autant les portes de la demeure ne s’ouvrirent pas. Cage dorée ou l’oiseau chantait, cadette d’une maisonnée devenue sinistre.
Elle est de ces sin’dorei que la chute a fait grandir trop vite, choquée comme tous par la chute du Puits de Soleil. Sa famille fut durement touchée. La Cage devint trop petite et d’un élan de patriotisme et de révolte, dans le désir désespéré de ne pas voir son monde finir de s’écrouler elle prit les armes, se dirigeant vers ceux qui en dernier rempart avaient arreté l’invasion dans la ville même.
Ainsi, elle se retrouva à intégrer la formation des chevaliers de sang.
Lisonelle tomba de haut.. de très haut... dès le premier jour.. quand on lui remit son équipement et qu'elle s'effondra sous son poids, sous les railleries de ses "camarades". Porter l'armure sur son corps trop frêle avait un certain coté ridicule tant elle paraissait perdue dans autre chose que ses robes richement décorées.
Avec détermination, elle s'entraîna sans relâche. Elle progressait... Mais.. dès qu'elle se retrouvait sous le regard des autres, perdait aussitôt tous ses moyens sous les moqueries cruelles. Plaies bosses et bleus ne la décourageaient pas. On ne peut décourager un oiseau qui rêve de soleil quand on a entrouvert sa cage. Engagée comme recrue après la Chute dans les rangs du premier ordre des chevaliers de sang, jusqu'à la fin de l’opération du Soleil Brisé au terme de laquelle on lui a offert la possibilité d’être démobilisée.
Elle a pris la mer en tant à bord de divers bâtiment, en tant que mousse puis gabier, s’y bâtissant une expérience maritime sérieuse venant compléter les connaissances théoriques acquises à terre, ce qu’elle poursuis encore aujourd’hui.
Alors que les combats on fait rage en Norfendre, et que sur le continent on parlait de l'assaut sur le Trône de Glace, elle remis ses compétences de soldat au service du Royaume et de la Horde et a été déployée dans les Maleterres où les combattants manquaient, la plus part étant partis vers le Norfendre.
Le monde à nouveau en une trêve relative, elle repris la mer et ses voyages. Le Cataclysme ayant coulé la plus part des navires, c’est par la terre que son voyage se poursuivit par la terre. Ses pas l’ont par suite reconduit au Royaume, où elle repris les armes avec sérieux dans la Maison Il’amare.
Ayant été blessée gravement et se retrouvant dans l’incapacité physique de poursuivre au poste de fantassin, elle rejoignit l’Académie Maestria en suivant son père et profita de cette opportunité pour y retrouver une place dans les combats malgré son handicap, devant réapprendre le moindre geste.
C’est dans ce cadre qu'elle a retrouvé la guerre, a travers celle des Tarides. Par chance, elle ne fit pas partie de ceux de l'Académie envoya au Norfendre, et repris ses occupations une fois la stupeur passée et que chacun eu repris sa route.
Lorsqu’on entendit parler du continent oublié sorti des brumes, son esprit aventureux ne manqua pas de se réveiller et il ne fallut pas la prier pour se joindre au voyage, auprès de son père et de quelques autres. Cependant son esprit encore brisé et son coté émotif furent très rapidement un problème avec la menace Sha. Dès lors que la nature et la raison de ces créatures furent a peu près cernées, elle quitta le nouveau continent avec une certaine précipitation pour reprendre à nouveau la mer, entre deux séjours au Royaume.
Elle était à Silvermoon le jour de la purge de Dalaran, et c’est à même le sol immaculé de la ville magnifique qu’elle se retrouva à trier et soigner les blessés évacués depuis la Cité Volante. Elle fut particulièrement choquée de voir la guerre se réinviter dans la cité d’une manière si sanglante. Elle en garde encore à ce jour une rancune tenace à l’encontre des humains et du Concordat, même si elle n’en fait pas étalage.
Puis vint le moment ou l'Académie redémarra et où la Porte des Ténèbres commença à vomir des flots d’orcs de fer. Devant ce cruel rappel d’une Horde noire venue jusqu'aux portes du Royaume, elle fit partie des volontaire pour s’engager aux cotés des Sangrehaine dans la campagne pour les repousser.
La campagne fut éprouvante pour tous, elle y perdit d’ailleurs son précieux violon, son amant. Perte futile pour beaucoup. Ce fut pour elle un crève-coeur.
Puis ce fut le dernier assaut, cette victoire promise, le hurlement de triomphe qui naissait au fond de la gorge alors qu’on gravissait les marches pour passer la Porte et repousser ces envahisseurs, et qui s'étrangla devant la vue de la multitude d’orcs, du mur de fer et des canons.
Alors ce fut la débâcle, la retraite, non sans rappeler celle qu’elle avait connu à Malaka’jin, le point de retraite et de chute.
Puis il a fallu survivre. Vraiment survivre, un jour après l’autre, perdue en terre inconnue et hostile. Elle n’a pas eu d’autre choix que de devenir adulte, vraiment adulte.
A la lutte de chaque instant pour manger, avoir un toit et dormir a succédé celle pour pouvoir rentrer en Azeroth.
C’est plus dure qu’elle y est revenue, plus déterminée et surtout paradoxalement prête à travailler pour atteindre ses rêves.
Pourquoi le personnage souhaite-t-il rejoindre les rangs d'Al'shar Alahni ?Une cause et des gens prêts à se battre pour celle ci. Pas pour la gloire, pas pour l’argent, mais parce que quelqu’un doit le faire, or seule elle a bien peu de poids.
Et pour empêcher Dalkor de se faire tuer en jouant au héros.
Pourquoi devrait-on l'engager ?Malgré son jeune âge au Fil des dix années passée Lisonelle a acquis une solide expérience du combat.
Ses capacités d’initiative ont été affûtées au fil des ans, et malgré un problème avec l’autorité, elle a fini par apprendre qu’il valait souvent mieux suivre un ordre, même si il vous parait mauvais, que perdre du temps à le contester sur l’instant.
Ses connaissances en matière d’arcane et les différentes façons de la dissiper autant que de la manier.
Si c’est une elfe qui seule ne pèse pas bien lourd, sa force augmente avec le soutien de ceux avec qui elle se bat autant qu’elle augmente la leur.
Informations sur le joueur :Qui êtes-vous ? J’ai 35ans, avec la plus belle crocodilette du Monde. Je pratique le JDR sur table et je fais semblant de faire de la guitare. Il paraîtrait même que l’été il m’arrive d'aller faire des trucs de djeunz communément appeler festivals, mais aucune preuve n’a encore pu être trouvée sur cette ignoble rumeur.
Qu'est-ce qui vous a donné envie de nous rejoindre ? Pour que Marà puisse ENFIN gueuler sur Lisonelle.
Connaissez-vous déjà des membres de la guilde ? Quelques un oui, pour avoir eu l’occasion de jouer avec eux.
Acceptez-vous le règlement ? Je prends les chèques, VISA , virements et pay pal.
Un dernier commentaire ? Un Grou peut en cacher un Autre.